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Les racines imaginaires de la Tour Eiffel

Publié le 21/04/2015

Dans le cadre de l'exposition Le Bord des mondes, le Palais de Tokyo s'associe à la Société d'Exploitation de la Tour Eiffel pour présenter pour la première fois un projet hors-les-murs au 1er étage de la Tour Eiffel du 03 avril au 15 mai 2015:

Les Racines imaginaires de la Tour Eiffel

 

Où surgiraient les racines de la Tour Eiffel si celles-ci traversaient la Terre?

Le palais de Tokyo a proposé aux artistes Estelle Delesalle et Laurent Derobert de concevoir un projet inédit, qui conviera les visiteurs à un voyage à "20 000 lieues sous la Terre" en leur proposant d'imaginer les racines de la Tour Eiffel et leur chemin.

Menée à l'aide des mathématiques, cette rêverie scientifique a permis de déterminer les quatre lieux d'où les racines jailliraient, de l'autre côté de la planète. C'est quelque part au large d'Hawaï, de Java, de l'île de Pâques et de l'île Bouvet, aux quatre coins du globe, que la Tour Eiffel transpercerait la Terre.

Au premier étage de la Tour Eiffel, le projet s'incarne en une sphère monumentale de 3.20m de diamètre sur laquelle sont matérialisés ces quatre lieux et avec laquelle le public pourra interagir. Les études mathématiques qui l'accompagnent font apparaître cette recherche et ses résultats.

Il s'agit là des prémisses d'une vaste expédition menée par quatre navigateurs qui partiront par les océans à la recherche de ces racines rêvées de la Tour Eiffel et relieront ainsi ces quatre points d'origine.

 

 

L'exposition Le Bord des mondes

 

Peut-on faire des oeuvres qui ne soient pas "d'art"? C'est en s'interrogeant avec Duchamp sur l'essence de la création et ses territoires que le Palais de Tokyo explore les monde interstitiels  la lisière de l'art, de l'invention et de la création.

L'exposition Le Bord des mondes invite à un voyage aux confins de la création, en révélant les prodigieuses recherches et inventions de visionnaires au-delà du territoire traditionnel de l'art.

Des créatures de plage géantes de Theo Jansen aux étonnants chindogu de Kawakami Kenji en passant par les poétiques attrape-nuages de Carlos Espinosa, l'exposition invite à emprunter des sentiers interdits et à chevaucher la faille qui habituellement sépare la création artistique et l'invention créative.

A la lisière de l'art et de l'invention, l'exposition fait voler en éclats des frontières entre les mondes, entre territoire artistique identifié et mondes parallèles absents du système de l'art, en explorant le fécond précipice qui peut les unir.

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